Une aventure érotique Urolagnie

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il y a 8 ans

Je suis une petite cochonne de vingt deux ans, un mètre soixante cinq, un peu moins de cinquante kilos, yeux noisettes, cheveux châtains, joli minois qui me donne l’air naïve et pourtant… Je suis loin d’être un ange !

Je dis que je suis cochonne parce que mon vice est considéré comme sale pour beaucoup de gens. Mais pour moi, je ne peux pas concevoir une relation amoureuse sans ce petit grain de folie… Ma perversion, c’est l’ondinisme ou aussi appelé urophilie ou encore urolagnie. J’aime faire pipi devant les hommes ou les femmes, j’aime pisser sur mon partenaire ou que celui-ci me pisse dessus… C’est particulier je vous l’accorde mais je ne peu pas m’en empêcher !

Depuis que je me masturbe, je fantasme sur les sexes d’hommes en érection mais aussi sur des sexes d’hommes en train d’uriner… Très jeune j’avais repéré un coin où les soirs de fêtes de mon village, les hommes venaient pisser. Cette petite ruelle était éclairée par un lampadaire public qui me permettait de tout voir… Sur cette ruelle donnais les fenêtres d’un vieil entrepôt désaffecté. Il ne me fut pas difficile de me placer derrière l'une d'entre-elles pour m’astiquer le clitoris en matant les hommes de tout âges venir se soulager la vessie.

Internet a cela d’utile qu’il permet de donner accès à un vaste choix de recherche et c’est sans difficulté aucune que j’ai réussie à consulter des sites spécialisés dans la pratique de l’ondinisme. J’ai participée à un forum sur le sujet où j’y ai appris beaucoup de choses et me suis aussi rassurée quand au fait que je ne suis pas vraiment une « bête curieuse » mais qu’au contraire bon nombre de personnes sensées partagent mon vice secret.

J’ai commencée à oser m’exhiber à l’age de dix neuf ans, j’ai sauté le pas un été, au camping de bord de mer que nous fréquentions une bande d’amis et moi. J’avais remarquée qu’un des wc que nous partagions avec les autres campeurs avait une cloison percée. Personne n’utilisait ce box, du moins aucune fille, parce que les mecs se moquent un peu d’être vus… Moi cela m’ouvrait des idées perverses… Après de longues hésitations, un soir tard, j’osais passer à l’acte. J’ai repéré un homme qui se dirigeait vers les toilettes et me suis engouffrée à sa suite.

Il était, à mon grand bonheur, penché sur un des pissoirs masculins qui donnaient sur le fameux trou, si j’entrais dans le wc troué, il pourrait me mater à loisir ! Je pris mon courage à deux mains et osais me défroquer et pisser tout mon saoul en sentant le regard de l’inconnu posé sur moi.

Par la suite, seule dans ma tente, je me suis touchée comme une folle en repensant à ce que je venais de faire.

Les soirs suivant, le même homme se représenta quand je me dirigeais vers les toilettes, c’était devenu un jeu et une routine entre nous. Il devait avoir une quarantaine d’années et le spectacle devait beaucoup lui plaire…

Le dernier soir, il osa m’aborder, me remerciant de ce que je lui avais offert. Il me proposa de passer un moment avec moi dans sa caravane, sa femme et ses e n f a n t s s’étant absentés pour faire un tour à la fête foraine… Après une petite hésitation j’acceptais. Je lui ai fait la totale, fellation, baise, je lui ai même présenté mon petit cul pour qu’il me le sodomise… Mais au final ce que j’ai le plus aimé c’est que je puisse lui pisser dessus, sur son torse velu et qu’ensuite il me rende la pareille en urinant sur mes seins. Le contact de ce liquide chaud et odorant m’a mise dans tous mes états et j’ai joui comme une folle !

Cette première vraie séance d’urolagnie scella en moi l’idée que j’étais faite pour cela, que tout mon corps le réclamait, que je ne pourrais plus m’en passer… J’ai multiplié les contacts avec des hommes et même une femme qui partageaient les mêmes vices que moi. Grâce au forum d’internet spécialisé sur le sujet, je n’ai eu aucun mal à trouver ces divers partenaires.

Je ne vous racontes pas jusqu’où je vais dans la pratique, je ne voudrais choquer personne mais vous devez imaginer aisément que les perspectives de jeux sont nombreuses quand on aime cela…

Pour le moment je ne suis pas tombée sur l’âme sœur, l’homme dont je rêve qu’il partagera ma vie. Je ne sais pas à quoi il pourrait ressembler étant donné que je n’ai pas un style d’homme particulier mais une chose est sûre, il faudra qu’il aime l’uro….

DeLaLune.

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